syndrome-ephemere

avec le temps, tout s'évanouit

Mardi 14 décembre 2010 à 22:02

ça vire au  plan malsain: on ne se parle plus que pour parler du creux existentiel et de la calotte glacière. 
je lui raconte mes ébats et lui ses incertitudes.

Tu me rabaisses implicitement, je suis bourrée et je te mens: je ne t'aime plus. C'est fini on m'en a suffisamment rabattu les oreilles. 

Tu n'a même pas fait attention aux larmes qui ruisselaient de mon corps, je voyais flou, j'avais si froid. 

 

 

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